mardi 30 mai 2017

Bon, alors, c'est quand qu'il démissionne Richard Ferrand ?


Parce que là, franchement, ça commence à faire beaucoup pour le secrétaire général d'un mouvement politique qui se prétendait irréprochable et qui avait fait de l'exemplarité son cheval de campagne électoral.

Passons sur cet espèce d'accord bizarroïde passé entre les Mutuelles de Bretagne et la pas encore SCI de la compagne de Richard Ferrand, 

passons sur le fait que Ferrand ait préféré donner le marché de cette acquisition d'immeuble à sa compagne plutôt que de laisser les Mutuelles s'acheter elles mêmes ce bien, 

passons sur ce deal de départ qui fit que les Mutuelles de Bretagne aient pris à leurs charges les frais de rénovation de l'immeuble augmentant d'autant la valeur du bien du couple Ferrand / Doucen,

passons sur l'accord portant sur les loyers supérieurs au marché négociés entre la compagne de Ferrand et les Mutuelles,

passons sur le fait que la SCI de Ferrand-Doucen ait pu acquérir cet immeuble sans faire le moindre apport personnel, le Crédit Agricole du coin leur accordant un prêt de 400 000 euros sans apport,

passons sur le fait qu'ainsi Richard et sa compagne se soient faits des coucougnettes en or sans quasiment débourser in fine le moindre fifrelin, 

passons encore sur le fait que les Mutuelles aient refilé la rénovation de l'immeuble à l'ex femme dont il est séparé depuis près de vingt ans, 

passons encore sur cette curiosité qui fait qu'une gamine de 13 ans, la propre fille de Richard et de sa compagne Sandrine Doucen, soit devenue détentrice d'une action de la fameuse SCI,

passons sur le fait que même si il avait, une fois élu député en juin 2012, démissionné de la direction générale des Mutuelles de Bretagne, Ferrand percevra la même année 50 003,90 euros de rémunération, puis 18 569,45 euros pour 2013,

passons toujours sur le fait qu'une fois élu député, Ferrand continuera de toucher chaque mois du pognon des dites Mutuelles en sa qualité de chargé de mission ce qui ne le gênera pas le moins du monde pour défendre très activement une loi (adoptée malgré l'opposition de la droite) favorable... aux mutuelles,

passons encore sur l'emploi d'assistant parlementaire refilé par Ferrand au fils de l'actuelle directrice générale des Mutuelles de Bretagne,

passons sur toutes les saloperies que Ferrand et ses copains d'En Marche ont pu dire sur la famille Fillon,

passons sur ces 24 heures supplémentaires qu'il a fallu pour nommer les membres du gouvernement, délai qui aurait permis à Macron et Philippe de s'assurer que toute l'équipe avait les fesses propres,

passons sur ce que j'aurai pu oublié,

mais que Richard Ferrand puisse affirmer haut et fort qu'il n'est ni marié, ni pacsé avec sa compagne, ça franchement, c'est à la fois pas cool pour elle, ils sont pacsés depuis 2014, un magnifique mensonge et nous prendre pour des cons ! 

La preuve en image:

 

Et comme si cela ne suffisait pas, il se dit que Le Canard Enchaîné devrait en rajouter une couche dès demain...

C'est à ce point du déjà bien gras dossier " Ferrand " que l'on se souvient de ce que disait ce même Richard:


A défaut d'être ce qu'il ne sera sans doute pas très longtemps, ministre de la Cohésion des Territoires, rendons tout de même grâce au monsieur, question cohésion familiale, il a l'air de toucher sa bille !

Folie passagère 3548
D'accord, pas d'accord: atoilhonneur@yahoo.fr

lundi 29 mai 2017

Dans leur malheur, les homos tchétchènes ont de la chance, ils sont Tchétchènes...

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Z'avez vu ?  Macron a reçu Poutine à Versailles. C'était beau, n'est-ce pas ? Un cadre grandiose pour deux gars hors normes. Les journalopes n'ont pas démérité non plus; ils ne savaient plus quelle formule trouver pour nous expliquer à quel point notre Président était un  super Président. Hier soir, j'ai même cru qu'Eric Brunet allait s'oublier tant il était in love de Macron. Dingue, vous dis-je.

Enfin bref, celui à qui tout réussi a reçu le tsar de toutes les Russies. C'est marrant d'ailleurs, ce Poutine, dont on nous a dit, depuis cinq ans et pendant la campagne électorale, qu'il n'était pas fréquentable, à tel point que Fillon et Marine ont été montrés du doigt, l'un pour ses accointances avec Vlad, l'autre pour avoir été reçue au Kremlin. Et aujourd'hui, en grande pompe, le fils spirituel de Hollande-l'anti-Poutine reçoit celui dont tout le monde " libre " disait que c'était un affreux dictateur... La politique, ça va, ça vient, c'est terrible: hier, noir, aujourd'hui, blanc ou gris.

Enfin, bref. Plusieurs sujets étaient à l'ordre du jour: l'Ukraine, la Syrie, Pierre Le Grand et bien sûr les droits de l'Homme (dont on sait que l'évocation, lors de ces rencontres, n'ait faite que pour complaire aux assoces et aux bisounours). Et par delà les Droits de l'Homme, l'épineux problème des homosexuels tchétchènes qui sont sérieusement enquiquinés par l'affreux Kadyrov, le potentat muzz local à la botte de Poutine, nous dit-on encore.

Combien de fois, aujourd'hui, et hier, et avant-hier, et sans doute demain, nos journalopes, préparant l'opinion à la venue de Poutine, nous ont rabâché qu'il faudrait absolument que cette question soit abordée et que Macron ne fasse pas l'impasse là-dessus: Monsieur Poutine, que comptez-vous faire pour soustraire les homos tchétchènes aux horreurs dont ils sont victimes de la part (de votre ami) du régime de Kadyrov ? Et Macron de faire savoir au monde entier que tous les sujets seraient abordés, qu'il y aurait des discussions " sans concessions ". Et Macron a parlé: " Poutine m'a indiqué avoir pris plusieurs initiatives sur le sujet des personnes LGBT en Tchétchénie avec des mesures visant à faire la vérité complète sur les activités des autorités locales et régler les sujets les plus sensibles ". 

Bien envoyé, n'est-ce pas ? Avec en plus, du " LGBT " inside, pas du homosexuel, du " LGBT ", c'est plus fun, plus moderne et ça devrait plaire au lobby du même nom.

La question du massacre des homosexuels de Tchétchénie était devenue centrale. Yallah ! Rendez-vous compte, près de 100 ont été arrêtés par les sbires de Kadyrov. Même que pour le show du jour, on a trouvé le moyen d'en faire venir un à Paris. Depuis quelques mois, ils sont pourchassés, débusqués, torturés, déportés, emprisonnés. Le monde s'en est ému, les assoces se sont saisis du problème et une jolie banderole a été dressé au Trocadéro. C'est bien, non ?

Par contre, quand Trump va en Arabie Saoudite, semaine dernière, aucune journalope, aucune assoce (à ma connaissance) ne lui ont demandé d'aborder le problème des homosexuels saoudiens...

Par contre, les milliers d'homos iraniens, saoudiens, égyptiens, koweïtiens, qataris, syriens ou irakiens, ceux de toutes ces sympathiques contrées musulmanes (à qui l'on vend armes, avions et autres technologies de pointe), ceux que Daesch balance d'en haut des immeubles, ceux que l'on pend haut et court, ceux qu'on crucifie, ceux à qui on colle le trou du cul avec de la colle cyanoacrylate, ceux que l'on torture, ceux qu'on émascule, et bien vous ne le croirez peut-être pas, ceux là, on s'en bat les coucougnettes ! 

Sans doute n'ont-ils pas la chance d'être tchétchènes...

Folie passagère 3547
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dimanche 28 mai 2017

La tombe du Général profanée, Fadila El Miri complice...

En voilà une nouvelle qui semble bouleverser beaucoup de monde: On s'est attaqué à la tombe du général de Gaulle ! La Croix a été cassée ! Sacrilège !

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Qu'il est bon de se rendre compte que nous sommes nombreux à s'offusquer de cette profanation. Faut-il être tarte, con, idiot, stupide pour s'en prendre ainsi à un si parfait symbole tout-en-un: Le Général, la résistance, l'héroïsme, la République, la Constitution, la Croix, nos racines chrétiennes,... Faut-il voir dans cette profanation un geste politique ? Sans doute pas. Un déséquilibré, dit-on. Encore un. C'est dingue ce que notre pays compte de déséquilibrés. Ou un grand gamin alcoolisé qui a fait un pari débile. 

Peu importe. Ce qui importe c'est de considérer que quelqu'un est capable d'un tel irrespect. Et peu importe à la limite, hors le symbole, que ce soit celle du Général qui ait été ainsi brisée. Il y en a tant qui, chaque année, subissent le même sort. Combien de cimetières profanés, combien de sépultures abîmées ? On ne les compte plus. Et qui pour s'en indigner ?...

Ce qui importe c'est que notre société soit capable de produire de tels individus. Le criminel tue par intérêt ou par passion. Le voleur vole pour manger ou s'enrichir. Les p'tains de terroristes tuent pour une cause, pour Allah. Sans le moins du monde les excuser ou pardonner, on peut comprendre. A la limite, au bout du bout. Mais que faut-il avoir dans le carafon si ce n'est un grand trou béant pour aller s'en prendre aux morts ? Faut-il n'avoir aucune notion de ce que peut être le respect dus aux morts, qui plus est quand celui-ci est un Grand, pour aller détruire une tombe. Faut-il que l'éducation dispensée à l'auteur du crime ait été défaillante. Ou pis encore, que celle-ci lui ait tellement lobotomisé le cerveau qu'il se soit fait du Général un homme à abattre à nouveau... Va savoir.

J'espère que l'auteur de cet acte aussi stupide que scandaleux sera interpellé et que les sanctions qui lui seront infligées seront à la hauteur du crime qu'il a commis. On ne touche pas à De Gaulle, on ne touche pas aux morts, on ne transige pas avec le respect du aux anciens et aux morts.

Ceci dit.... encore une fois, devrait-on s'étonner de ce genre de saloperies quand même une candidate à la députation, n'ayant sans doute pas pu faire le voyage à Colombey, a du se contenter, à sa manière, d'un simple doigt d'honneur... pour nous montrer quelle idée elle se fait du respect... du à celui qui, quoiqu'on en pense, lui permet aujourd'hui de se présenter devant les électeurs... alors que par son geste ci-dessous immortalisé, elle est ni plus ni moins la complice de celui qui a cassé la Croix à Colombey-les-Deux-Eglises

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Folie passagère 3546
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vendredi 26 mai 2017

Quelque chose bout dans la marmite...

Je vais peut-être passer pour un idiot auprès de quelques-uns (Coucou La Plume), mais je viens seulement de découvrir la revue Eléments pour la civilisation européenne. C'est tout simplement passionnant et tout à fait original. Vous trouverez ci-dessous l’éditorial d'Alain de Benoist.


" L’élection présidentielle de 2017 s’est déroulée dans un climat lamentable de part en part et s’est achevée sur un face-à-face calamiteux. Au second tour, un candidat et une candidate s’affrontaient. Le premier a été élu par défaut, par des gens qui ne voulaient pas de lui, mais voulaient encore moins de son adversaire (le « barragisme », nouvelle dénomination du « vote utile »). Aucun enjeu civilisationnel n’a été abordé. Et pourtant, ce scrutin revêt un caractère historique.


Aucun des deux grands partis qui ont en alternance gouverné la France depuis près d’un demi-siècle n’a pu accéder au second tour. En France comme ailleurs, la vieille classe politique est discréditée, ce qui laisse prévoir une recomposition générale du paysage politique dans un climat plus ou moins convulsif qui débouchera sans doute sur des regroupements inédits. 

Les anciens grands partis éliminés au premier tour étaient aussi ceux qui étaient porteurs du clivage gauche-droite – ce qui leur permettait de mener alternativement la même politique – et aussi ceux qui étaient identifiés comme ses représentants. À l’inverse, les deux finalistes avaient comme point commun de ne pas se définir par rapport à lui et de ne pas voir dans le couple gauche-droite l’alpha et l’oméga de la politique. Ils étaient en ce sens le miroir l’un de l’autre. L’un opposait les « conservateurs » aux « progressistes », l’autre les « patriotes » aux « mondialistes », mais c’était la même chose. Conçu à l’intention des classes moyennes, qui sont en train de s’effacer, le clivage gauche-droite constituait un axe horizontal qui est aujourd’hui remplacé par un axe vertical. Il réapparaîtra peut-être à l’avenir, mais ce sera avec un autre contenu. 

Cette élection a également fait réapparaître un clivage de classe que certains croyaient disparu. « Le clivage de classes aura rarement été aussi net », observe Régis Debray. D’un côté, les hauts et très hauts revenus, les élites appartenant à la Caste, les cadres supérieurs et la grande bourgeoisie, les « auto-entrepreneurs » et les bobos, de l’autre les revenus bas ou modestes, les chômeurs, les ouvriers et les agriculteurs, les couches inférieures des classes moyennes, tous ceux qui ne vivent plus là où se créent les emplois et s’accumule la richesse. D’un côté, les habitants des grandes métropoles, de l’autre la « France périphérique » des villes moyennes, des zones péri-urbaines désindustrialisées et des communes rurales. D’un côté, les « planétaires », tenants d’une France open space « ouverte sur le monde », la main sur le portefeuille quand ils chantent l’hymne national, de l’autre un peuple désireux de perpétuer son patrimoine immatériel, de conserver sa sociabilité propre et de rester souverain sur les conditions de sa reproduction sociale. Les gagnants et les perdants de la mondialisation. Le « parti de demain » et le parti de toujours. Les « people » et le peuple.

Grâce à cette élection, la classe dominante reconstitue son unité politique contre « ceux d’en bas », derrière les marcheurs du marché, followers et majorettes, menés par un enfant-roi télévangéliste dépourvu d’affects, mais impatient d’instaurer définitivement la société liquide dont rêve la communauté financière qui l’a adoubé. 

La France n’est pas seulement divisée, fragmentée, coupée en deux. Elle se compose d’individus et de groupes sociaux qui ne vivent pas la même réalité, qui ne voient pas les mêmes choses, qui ne respirent pas le même air et ne parlent pas le même langage. La France d’en haut et la France d’en bas sont devenues également étrangères au « vivre ensemble ». Elles ne vivent même plus côte-à-côte. Elles vivent face à face. Le rôle normal du politique est de produire du commun, d’organiser un espace commun. Mais le politique a oublié sa vocation naturelle. Plus on parle de « société inclusive », plus la fragmentation progresse. 

Le seul mérite de cette situation est d’éclaircir les fronts. On sait mieux désormais qui se fait face : les libéraux et les antilibéraux. On sait aussi que la misère sociale, la frustration, la défiance et la colère sont là et qu’elles vont encore s’étendre. Un feu s’est allumé, prêt à enflammer la plaine. Quelque chose bout dans la marmite. Toute la question est de savoir quand elle explosera. Et qui profitera de l’explosion."

Au sommaire de ce numéro 166:

Dossier : le conservatisme au féminin
• Rencontre avec Bérénice Levet
• Les insoumises : En marche !
• Entretien avec Eugénie Bastié, Solange Bied-Charreton, Natacha Polony et Ingrid Riocreux
• Marcela Iacub, pour le meilleur et pour le pire
• Interview de Marion Maréchal-Le Pen : « gagner avant tout le combat culturel »

Et aussi...
• Emmanuel Macron, uber-président
• La droite buissonnière
• L’AfD ou les spécificités du populisme allemand
• On a retrouvé les Indo-Européens
• Entretien avec Thibault Isabel : le retour de Proudhon
• Michel Onfray, lecteur de Proudhon
• Jean-François Davy, un vrai cinéma populiste
• Vladimir Dimitrijevic, le feu sacré du verbe
• Georges Hyvernaud, l’ivrogne et l’emmerdeur
• Ce que penser veut dire, le dernier livre d'Alain de Benoist
• Dernières rencontres avec Armand Gatti
• Matthew B. Crawford, le philosophe et les motos...

(Billet non sponsorisé)

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jeudi 25 mai 2017

Y a-t-il un lien entre terrorisme et immigration ?

Je ne sais pas. A vous de voir !


Quartier de la Paillade, Montpellier:

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Le kamikaze qui s'est fait exploser à Manchester, Salman Abedi, 22 ans, citoyen britannique d'origine libyenne. Son père et son frère ont été arrêtés en Libye:


Le même en plus jeune:


Un lien entre Salman Abedi et l'instigateur des attentats de Paris-Bataclan et de Bruxelles ?:



Ci-dessous, il y a tout juste quelques jours, sur les côtes italiennes. On se souviendra qu'il est prouvé qu'au moins deux des terroristes du stade de France venaient directement de Syrie via la Turquie. Migrant et immigration ont la même origine étymologique:
Il y a quelques jours, à Paris:

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Bien, maintenant je repose la question: Y a-t-il un lien entre terrorisme et immigration ?

(ci-dessous, photo de l'agence dont on ne peut écrire le nom dans un billet de blog prise a priori hier matin)

Folie passagère 3546
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mercredi 24 mai 2017

Comment faire monter la pression syndicale en une image...

Ou comment attiser la colère syndicale...

Un titre puissant, un Président qui se mord les lèvres, résistera-t-il ?, " la mère de toutes les batailles (ridicule au demeurant), comment Macron exerce-t-il le pouvoir (sous-entendu: par ordonnances, autoritaire, dialoguera-t-il ?, ...)

Couverture du Point N° 2333 du 25 mai 2017


Z'auraient pu titrer " ça va chier ", c'eut été pareil...

De la responsabilité des médias dans la colère sociale...

Folie passagère 3545
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mardi 23 mai 2017

Allons bon, encore un attentat, à Manchester ce coup-ci !



Allons bon, encore un attentat, à Manchester ce coup-ci. On parle de 22 morts et d'une soixantaine de blessés, des enfants, des adolescents, des adultes... L'horreur comme d'hab ! Et tout ça par l'ignominie de terroristes islamistes... Encore. Comment ça encore ? A en juger par les réactions qui viennent du monde entier, on a l'impression que c'est le premier attentat du genre. Que nenni les amis, des attentats de ce type, il y en a chaque jour au Pakistan, en Afghanistan, en Irak, en Syrie, au Bangladesh, au Yémen, en Afrique... Tous les jours. 

Bon okay, c'est pas en occident mais ce sont des attentats avec des enfants, des adolescents, des parents pris pour cible et exécutés lâchement au nom d'Allah le Grand Miséricordieux ! Et oui, ouvrez les yeux ! Tous les jours et pour ceux-là personne ne fait de déclarations aussi creuses que ridicules comme celles auxquelles nous assistons depuis ce matin. Pour ces attentats là, pas d'extinction de la Tour Eiffel, ni de bougies, ni de " Vous n'aurez pas ma haine ! ". Ceux-là, on s'en tape, c'est loin.

Mais revenons à Manchester puisqu'il semblerait que la ville du rock soit devenue le centre du monde. Une salle de concert, des gamins venus écouter une starlette préfabriquée aux States, un " déséquilibré " qui se fait sauter: 22 morts et des blessés en pagaille. Paix à leurs âmes et tout notre soutien aux blessés et aux familles des victimes.  Solidarité avec le peuple britannique et pray for Manchester ! J'ai tout bon ? Passons donc à la suite...

La réaction des grands de ce monde et de nos chers médias. 

Un " incident terroriste " titrent plusieurs journaux. Un incident ? Un incident qui fait 22 morts, perso, j'appelle cela un accident, une catastrophe, une horreur, un carnage, pas un incident, même avec des guillemets !

Un acte terroriste ? Okay mais pourquoi ne pas dire, ne pas écrire de quoi il s'agit véritablement ? Un acte terroriste islamiste, par exemple; là au moins on sait de quoi on parle. Et puisque l'auto-proclamé Etat Islamique l'a pris à son compte, pas de quoi se refuser cette maigre consolation: désigner pour une fois les choses par leur vrai nom. Manchester, c'est un acte terroriste islamiste. Faudrait pas ? Pour ne pas choquer la communauté ? La clientèle électorale ? Eviter les amalgames ? Ben voyons, et puis quoi encore. Perso, à l'heure où, en France, près de 60 personnes se revendiquant ouvertement musulmanes sont candidates du Parti Egalité Justice à la députation, à l'heure où certains quartiers entiers sont sous la coupe du salafisme, je dis qu'il faut arrêter les conneries, appeler les choses par leur nom et arrêter de chérir les causes après en avoir déploré les effets. L'Islam, tant religieux que politique, ne nous veut pas du bien, vraiment pas, sauf à s'y soumettre.


Vous n'avez pas encore compris ? Remarquez, je peux l'entendre puisque même Angela Merkel et Teresa May le reconnaissent aujourd'hui. La seconde l'avoue: " Nous ne comprenons pas comment on peut être aussi tordu et malade pour perpétrer de telles attaques contre des enfants. " et la première: " Il est inconcevable que quelqu'un utilise un concert de musique pop joyeux pour tuer des gens ou leur infliger de graves blessures ". Inconcevable, incompréhensible ? Vraiment ? Faut que je vous fasse un dessin mesdames ? C'est au contraire parfaitement compréhensible: ces gens sont en guerre contre nous, contre notre civilisation, contre nos habitudes, nos musiques, nos origines chrétiennes, notre foi, notre façon de vivre. Et comme ils n'ont pas les moyens donc nous disposons (avions, bateaux, armées, etc...), ils font la guerre à leur manière, à leur façon, sans scrupules et avec une détermination sans faille: Ils sont en guerre et à en juger par les réactions lues sur les réseaux sociaux, ils ont beaucoup, beaucoup d'amis et de sympathisants dans nos rangs, parmi nous, chez nous. A Paris comme à Manchester. Cela s'appelle une cinquième colonne, mais je sais, chut. Ils font la guerre chez nous quand nous la faisons là-bas, chez eux, de manière conventionnelle. Va comprendre Charles !

On va leur mener une guerre totale qu'ils déclarent tous, les uns après les autres: Merkel, Trump, May et consorts. Même notre Macron national s'y met. Pétri " d'effroi " le bichon, il veut créer une Task Force pour mener la lutte contre le terrorisme islamiste et son Sinistre de l'Intérieur de déclarer solennellement qu'il allait prendre toutes les mesures pour " améliorer " la sécurité des Français. Pardon ? Dois-je comprendre que si on créée une TF et qu'on va " améliorer... " c'est que tout n'aurait pas été fait avant pour approcher au plus près du risque 0 ? Et ce brave Juppé qui déclare: "Une vigilance accrue s'impose face à la menace terroriste. "  Arrêtez vos déclarations à la con faites de platitudes, devenues insupportables, et cessez de nous prendre pour des cons.

Expliquez-moi plutôt pourquoi une partie du commando des attentats du 13 novembre avait pu aller faire tranquillement des repérages à Manchester avant, finalement, de se rabattre sans difficulté sur Paris ? Expliquez-moi plutôt pourquoi la quasi totalité des terroristes ayant sévi en France étaient fiché " S " ? Expliquez-moi pourquoi et contrairement à ce qu'avait déclaré Cazeneuve moins de vingt lieux de cultes salafistes ont été fermés ? Pourquoi des muzz peuvent en toute impunité bloquer un quartier pour protester contre la fermeture d'un centre " cultuel " ? Pourquoi tous les fichés " S " binationaux ne sont pas, depuis le temps, expulsés ? Expliquez moi comment Anis Amri, le tueur islamiste de Berlin a pu sans difficultés traverser 4 pays avant de se faire plomber, par hasard, à Milan ? Expliquez-moi, même si j'ai déjà la réponse, pourquoi le communautarisme muzz se développe sans que rien ne soit fait pour le contre-carrer ? Dites-moi pourquoi, cet après-midi même, des antifas peuvent en toute impunité défiler à la Bastille en scandant: " Si t'es fier d'être fiché " S " tape dans tes mains " ?

Si vous êtes à court d'idées pour lutter contre le terrorisme, faites-nous signe, on en a plein !

Les trottoirs ne se radicalisent pas, les camions ne sont pas fous, la musique ne tue pas, c'est l'islamisme et ses complices qui tuent.

Contrairement à ce que dit le Président du Conseil Economique et Social, monsieur Bernasconi, derrière ce massacre, pour le justifier, il y a bien une idéologie, une religion et une cause défendue; le triptyque infernal de l'islamisme.

Il ne s'agit plus, madame Nyssen de la Culture, " de tout faire pour redonner la joie et de l'enchantement et au contraire de garder l'espoir et d'évoluer vers une société moins terrorisante "; vous nous dîtes de continuer d'aller au concert, je veux bien, mais je n'ai pas d'escorte policière, moi. Que nous direz-vous la prochaine fois ? 

L'heure n'est plus à " ré-enchanter ", l'heure est à la lutte totale contre le terrorisme, sans scrupules, sans fioritures, sans bougies ni ballon multicolore. Sans langue de bois. Sans pitié. A armes égales !...

Folie passagère 3544
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lundi 22 mai 2017

Cyril Hanouna est un danger public... pour les homosexuels mais pas que...

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" Je le hais. Lui, et son escouade de hyènes au surmoi atrophié, je les hais. Avec «Touche pas à mon poste», on a franchi depuis bien longtemps la barrière du supportable et je ne parviens plus à ressentir autre chose que de la haine pure. Je n'en peux plus des analyses psychologisantes sur le syndrome de Stockholm dont souffriraient les chroniqueurs, sur la supposée griserie d'un Hanouna longtemps mal aimé et sous-employé, des accusations de Hanouna-bashing... Hanouna n'est pas une victime. C'est un bourreau. On parle là d'un homme qui a chié dans la chaussure de son chroniqueur. D'un homme, surtout, qui s'est fait une spécialité d'humilier, et maintenant de persécuter des homosexuels.

La dernière séquence (et on ne parlera pas de «dérapage», à réserver au code de la route) est atroce à regarder. Ce jeudi 18 mai, l'équipe de «TPMP» a posté de fausses annonces de rencontre sur le site Vivastreet. Dans l'extrait qui circule sur Twitter, on le voit répondre en direct à un homme, se faire passer pour un homosexuel (avec toutes les mimiques et la voix efféminée qui vont bien).

Sur le plateau, les chroniqueurs gloussent en silence pour ne pas se faire remarquer par l'homme piégé. Pour parachever l'humiliation, Hanouna finit par lui raccrocher au nez. J'ai eu la nausée. Pour de vrai. Je vois passer toute la journée des images et des vidéos immondes sans jamais trop ressentir de dégoût, mais là, pour la première fois, j'ai eu envie de vomir.

La victime du canular ignorait qu'il était écouté par des milliers de personnes, il drague et se laisse draguer en pensant qu'il s'agit d'un moment intime. Il se fait raccrocher à la gueule. Puis il se découvre sans doute, dans l'extrait diffusé. Je suis obsédée par cet homme, et ce qu'il doit ressentir aujourd'hui. J'aimerais savoir comment il va. Ce qu'il pense de tout ça. S'il est lui-même téléspectateur occasionnel ou assidu de «TPMP», et si tel est le cas, ce que ça fait d'être persécuté publiquement par des gens qu'il aimait bien peut-être, qui sait. Il n'a pas été le seul à être appelé, et l'un d'entre eux doit venir témoigner sur le plateau.

On parle ici de persécution. Pas de canular, pas de blague potache, ni même de harcèlement. Une persécution est «un type d'oppression consistant à appliquer à une personne ou un groupe de personnes des mesures ou des traitements injustes, violents ou cruels pour des raisons d'ordre idéologique, politique, religieux ou encore racial».

Rire d'un homme parce qu'il est homosexuel, le rabaisser, l'humilier, le jeter en pâture aux rires d'un public, et être tout content de soi, c'est l'exacte définition de la persécution. Sans compter que, comme le rappellent de nombreux internautes sur Twitter, cette méthode, consistant à se faire passer soi-même pour gay, est exactement «la technique des casseurs d'homosexuels».

Quant au contexte: l'émission est diffusée le lendemain de la journée mondiale de lutte contre l'homophobie et la transphobie, alors que les actes homophobes sont repartis à la hausse, et alors qu'en Tchétchénie, les homosexuels sont traqués, torturés par les autorités avec la complicité de la population. J'entends déjà ceux qui vont dire que, quand même, «c'est pas pareil». Bah si. Bien sûr qu'Hanouna n'est pas un génocidaire, mais il passe son temps à mettre plein de pièces dans la machine à homophobie, et légitime dans l'esprit de certains, que rire des homosexuels et de les rabaisser est tout à fait normal. La violence physique à l'égard d'un groupe commence toujours comme ça: on moque, on parodie, on humilie, on essentialise, on rit... et la malveillance, puis la violence physique finit toujours par débouler.

Pourtant, c'est peu dire qu'Hanouna n'en est pas à son coup d'essai et qu'il a déjà maintes fois été sermonné pour ses éloges de l'homophobie, quand ce n'est pas de l'homophobie pure. En décembre 2016, l'association des journalistes LGBT avait étudié «l'obsession pour l'homosexualité» de «TPMP» et constaté 42 mentions faites à l'homosexualité en à peine un mois, dont la plupart dans l'objectif de rabaisser.

«Le 7 novembre, par exemple, le chroniqueur Camille Combal et Cyril Hanouna imitent, comme ils le font souvent, un couple gay semblant tout droit sorti de La cage aux folles. L’animateur prend des airs efféminés: “Je suis complètement ouvert, je suis complètement ouvert à la flagornerie.” Le 15 novembre, sur le même plateau, Jean-Michel Maire parlent des homosexuels qui se cachent: “Etre dans le placard… d’où l’expression ‘avoir un balai dans le cul’”. Quelques jours plus tard, un voyant invité prédit qu’une future émission sera présentée par un des chroniqueurs, mais ignore si ce sera un homme ou une femme. Cyril Hanouna commente alors: “Ah ben ce sera Matthieu Delormeau!”»
Si, la plupart du temps, ces railleries sont faites sous couvert de blagues, elles sont aussi parfois ostensiblement hostiles à l'homosexualité:

«Le 29 novembre, l’invité Jeremstar drague ouvertement Matthieu Delormeau puis Cyril Hanouna. Réaction de l’animateur: “Alors le problème avec moi, c’est que je suis un petit peu nerveux. Si tu commences à me toucher, on peut assister à un homicide”. Quelquefois de menaces: le 2 novembre, les chroniqueurs disent à tour de rôle le nom d’une chanson sur laquelle ils ont déjà fait l’amour. Vient le tour de Matthieu Delormeau: “C’est une très jolie chanson, j’espère que vous aurez un jour l’occasion de l’entendre…” Hanouna, agressif: “Pas avec vous. Non mais je vais t’expliquer, celui qui va me ‘ken’, il est pas né.” Delormeau : “Comment?” Hanouna: “T’as très bien entendu.”»
On est là dans l'homophobie dans ce qu'elle a de plus basique: soupçonner un gay de vous faire des avances et le menacer de lui péter la gueule.

Mais ce sont bien les «blagues» homophobes qui posent le plus de problème en ce qu'elles sont généralement noyées dans un magma de gloussements et d'applaudissements du public. On finirait presque par ne plus y prêter attention. Par ailleurs, c'est la rhétorique adopté par Hanouna et ses fanzouzes pour légitimer ce système: «on rigoooooole, c'est pas très Charlie de vouloir nous censurer». Après les réactions, il a publié le message suivant sur Twitter:

Cet argument qui fait de l'humour un blanc-seing pour à peu près tout est d'une malhonnêteté et d'une paresse intellectuelle crasse. C'est d'ailleurs épuisant d'avoir à répéter que traiter quelqu'un comme une merde, et lui donner une accolade juste après, ça s'annule pas. Que oui, plein d'autres gens ont fait de ce type d'humour leur fond de commerce, mais c'est pas pour autant que c'est tolérable. Que moquer quelqu'un pour sa couleur de peau, son sexe, ou son orientation sexuelle, c'est «pas pour rire», c'est «pour dominer».

On nous dit aussi que, comme Matthieu Delormeau et Enora Malagré, respectivement homosexuel et bisexuelle sont sur le plateau, qu'ils semblent, eux, trouver ça hilarant, voire participent au concert de blagues homophobes, et que cela annihileraient l'aspect malveillant. Or, c'est pas parce qu'ils ne sont pas hétéros qu'ils sont moins cons. Personnellement, j'ai cessé de m'intéresser à la psyché de Matthieu Delormeau, victime consentante de tout ce bordel depuis bien longtemps. Qu'il se démerde avec son psy. Quant à Enora Malagré, elle encaisse aussi sans moufter que Thierry Moreau dise d'elle qu'«suce debout», et a touché le corps d'une invité, Patricia, sans son consentement. Difficile de faire de ces deux-là des cautions morales et des gardiens des droits."

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Tribune de Nadia Daam parue sur Slate; tribune à laquelle je souscris pleinement avec tout de même une précision: Chaque soir, depuis 7 ans, c'est  près de 1 million de Français qui se vautrent devant cette raclure d'Hanouna... Cyril Hanouna est bien un danger public pour les homosexuels mais pas que... pour aussi tous ceux qui le regardent complaisamment...

Folie passagère 3543.
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De Hollande à Macron, le changement, c'est maintenant !

A la mémoire de Gridou (Jean-Pierre, fidèle commentateur), qui tout comme Droopyx, est parti bien trop tôt ! Fucking Life !

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Je dois dire que ce gouvernement a quelque chose de surprenant: Voilà presque 8 jours qu'il est en place et, pour l'instant, pas un couac à ma connaissance. Rien à voir donc avec les premiers gouvernements de Hollande.

Tenez, Hollande, avez-vous remarqué avec quelle facilité / félicité, nous l'avons déjà tous enterré, oublié, presque zappé de nos mémoires ? Étonnant ? Non, conforme à ce qu'il fut finalement: rien. Il y avait quand même quelque chose de bien avec lui et sa bande d'idéologues et de tanches patentées: On les voyait venir de loin (Sans doute seront-ils quasiment tous recasés sans avoir à répondre du bordel qu'ils auront mis dans le pays. La République est bonne fille). Alors que la nouvelle équipe, certes il faudra nous y habituer, difficile de sentir à quelle sauce ils vont vouloir nous manger. De quoi désarçonner un petit peu le blogueur...

Elle est tellement iconoclaste cette équipe, inhabituelle. Un espèce de grosse salade républicaine dans laquelle on aurait jeté presque tous les ingrédients  à portée de main: y a de la droite, y a du socialo, y a du radical gauche, y a des centristes, y a des des experts, y a des traîtres à leur camp, des énarques, de la parité, du flan avec Collomb, un écolo et un soupçon de diversité pour faire joli. Et un Président qui a l'air de vouloir - ça nous changera - se la jouer... Président. Le changement serait-il pour maintenant ? 

Comment voulez-vous qu'on s'y retrouve ?

Bon okay, il y a l'air aussi d'y avoir des gros nases dans la bande. Regardez Collomb, Sinistre de l'Intérieur. Le jour de la passation, il a fondu en larmes devant son champion, ce qui pour un ministre de l'Intérieur la fout un peu mal. Et le voilà samedi, alors que la polémique fait rage sur le quartier devenu invivable de la Chappelle-Pajol, déclarer benoîtement qu’il souhaitait mettre en place " la police de proximité pour faire en sorte qu’il n’y ait plus de territoires de non-lieu (sic), que l’on puisse être en sécurité partout. Nous allons donner des moyens en matériel et en armement ". Si ça, c'est pas de la tarte à la crème, du lieu commun, je ne sais pas ce que c'est. Vous avez bien Schiappa dont il faudra se méfier. Il y a aussi Bayrou, ministre de la Justice mis en examen et non démissionnaire, qui à défaut de ne pas valoir un clou aura à cœur de faire parler de lui et de se rendre indispensable. Flessel ? Rigolote mais sans prétentions intellectuelles. Mais à part ça ? Plutôt une équipe équilibrée et qui, à défaut d'être pour l'instant crédible et d'apparaître sincère, fait plutôt belle figure. Il me semble. Comme me semble totalement ridicule l'espèce d'euphorie qui semble avoir gagné les salles de rédaction.

On me dit ça et là que ce cocktail politicien voulu par Président n'aurait qu'un objectif: constituer à terme, après avoir fait exploser les LR, un parti unique qui n'aurait plus face à lui que les extrêmes. Je n'y crois pas un instant. A l'objectif peut-être, à la réussite de l'entreprise, non. Nous verrons.

En attendant, législatives à l'horizon, cette équipe va surtout se démener pour gagner et sans doute - les Français sont assez veaux pour cela -  aura-t-elle la majorité à l'Assemblée Nationale. C'est seulement là que nous verrons de quel bois ils sont fait. Si d'aventure, ils ne gagnaient pas, nous irons à la cohabitation: premier accident de parcours pour Macron, gros grain de sable pour le Maître des Horloges à qui je n'arrive pas, pour l'instant, à accorder une once de confiance.


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France, 2019.